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robert laffont - Page 9

  • Une Fille comme Elle de Marc Levy

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    marc levy, une fille comme elle, Robert laffont, feelgood book

    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Une Fille comme Elle ?

       "Marc Levy et moi, c'est une histoire compliquée. Il fait partie des auteurs qui ont rendu l'amour de la lecture à ma soeur et je lui en suis reconnaissante. J'avais également, comme tout le monde ou presque, aimé Et si c'était Vrai mais mes quelques lectures suivantes furent des déceptions. Pourtant, j'avais été de nouveau agréablement surprise avec Elle & Lui e j'ai donc eu très envie de lire celui-ci..."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Deepak est liftier dans un vieil immeuble New-Yorkais et son travail est sa grande fierté. Mais quand son collègue de nuit se blesse, certains des propriétaires commencent à penser qu'il serait temps d'automatiser l'ascenseur. Mais Deepak ne va pas se laisser faire avec l'aide de sa famille et de Chloé, une habitante pas tout à fait comme les autres..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "Autant vous le dire tout de suite, j'ai vraiment bien aimé ce livre et cette lecture et j'ai vite oublié que je lisais un Marc Levy ! Je ne devrais peut-être pas dire ça mais c'est une telle affaire aujourd'hui, les pour, les contre, ceux qui l'adorent et ceux qui le détestent... Je vais vous dire, on s'en fout. Je lis du Jane Austen et du Kristan Higgins, je me délecte d'Alexandre Dumas comme d'un Sophie Kinsella et j'aime autant ou presque Agatha Christie qu'Agatha Raisin... Donc, ce qui m'importe, c'est que j'ai apprécié ma lecture, de la première à la dernière page, qu'elle a rempli son contrat, m'a fait rêver et voyager, sentir et ressentir. Il y a foule de personnages attachants et agaçants et c'est ce qui fait la force de l'histoire qui ne se contente pas de nous raconter une histoire d'amour convenue mais bien des histoires de vie. Il y a également une jeune femme en fauteuil roulant mais on ne tombe jamais dans le pathos. Il y a de la personnalité, de l'humour, de la pudeur. Bref, il y a tout ce qu'il faut !"

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Bien sûr qu'à la page 22 du livre j'aurais pu vous dire comment ça allait finir mais honnêtement, quelle importance ? Le seul petit bémol, s'il devait y en avoir un, c'est que j'ai trouvé qu'il y avait plusieurs jolies idées dans le récit pour des titres un peu plus pêchu que celui-là..."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

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    Catégories : Lire en Légèreté 4 commentaires
  • Là Où Rien ne Meurt d'Hervé de Moras et Franck Calderon

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    là où rien ne meurt, polar français, la bête noire, Robert laffont, Franck Calderon, Hervé de moras

    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Là Où Rien ne Meurt ?

       "On nous promet un polar sentimental, qui se déroule à Nîmes de surcroît, cela aiguise ma curiosité. En plus, la couverture est joli et c'est la Bête Noire alors..."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Trois ans après, Paul ne se remet toujours pas de la disparition de sa femme et a décidé d'en finir avec cette vie sans intérêt. Mais alors qu'il s'apprête à enjamber le pont, son voisin l'appelle pour lui dire que l'on vient de retrouver un corps dans son jardin..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "Les premiers chapitres nous aspirent littéralement à l'intérieur de cette histoire, sous des torrents d'eau, aux côtés d'un personnage plus que cabossé, tout prêt à se foutre en l'air. C'est plutôt une bonne entrée en matière. Ensuite, il y a le retour en arrière, l'enfance, les souvenirs et j'ai un peu décroché. Enfin, l'ésotérisme entre en jeu, en quelques sortes, puisqu'on y croit jamais vraiment, et là ça m'a franchement fatigué. Quand le héros revient enfin à un discours rationnel, l'intérêt pour l'histoire renait également et à partir de là, je ne l'ai plus lâché jusqu'à la dernière page."

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "La fin est vraiment à la hauteur, les évènements qui se bousculent, l'enquête, les révélations... J'ai beaucoup aimé aussi le soin apporté au destin de chacun des personnages, en revanche il y a un peu trop d'histoires d'amour qui se profilent tout à coup : six personnages = trois couples. Point trop n'en faut !"

     

        Mlle Alice, merci, et à jeudi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres de la Bête Noire ICI

    Catégories : Lire et Enquêter 2 commentaires
  • Le Roman Ivre d'Isabelle Stibbe

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    les passes-murailles, Robert laffont, isabelle stibbe, le roman ivre, les trois mousquetaires, dumas

    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Le Roman Ivre ?

       "J'aime vraiment beaucoup cette collection des Passes-Murailles, autant son principe que ses réalisations. Il s'agit ici du cinquième opus et n'ayant eu qu'une seule déception au cours de mes quatre lectures précédentes, il m'a semblé que c'était une bonne raison de poursuivre ma découverte."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Un soir, en rentrant chez elle, Camille se fait agresser et se réveille dans les bras d'Athos, le héros des trois mousquetaires. Lorsqu'elle se retrouve enfin de nouveau dans son monde, son escapade ne lui semble pas moins réel pour autant et le phénomène va même se répéter..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "Voilà donc ma deuxième déception. Il y a tellement de choses dans ce roman qu'il n'a plus ni queue ni tête. Nous avons l'histoire de Camille dans le présent, son métier d'avocate, son agression, son fiancé jaloux, puis Camille auprès d'Athos et suivant ses aventures et ça aurait été bien que ça s'arrête là. Malheureusement nous avons également des cours d'Histoire inutiles, des dialogues entre l'auteur et sa fille qui lit par-dessus son épaule, l'auteur qui s'adresse directement au lecteur... Non seulement aucun de ses éléments superflus ne m'a plus mais en plus, en si peu de pages, le récit principal se délite et se noie complètement au milieu du reste. Finalement, plus rien n'a d'importance et n'accroche l'intérêt du lecteur."

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "Le point positif c'est que les dernières lignes sont amusantes. Absurdes mais amusantes. En revanche, que l'auteur envisage que son héroïne épouse son fiancé après avoir ridiculisé ce personnage pendant tout le roman et nous avoir dépeint un homme d'une jalousie maladive, autant vous dire que ça m'a passablement énervée."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain...

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    Catégories : Lire et Imaginer 2 commentaires